Jussie envahissant les barthes d’une rivière landaise. Image : Florent Beck (CC by-sa, via Tela Botanica)

Présentation du projet de thèse :

Ce projet permet d’envisager le développement d’une économie circulaire autour d’une biomasse largement disponible en région Nouvelle-Aquitaine que ce soit du point de vue des macrophytes aquatiques autochtones (myriophylle à fleurs alternes, myriophylle en épi, renoncule en pinceau…) ou invasifs (jussies, myriophylle brésilien, lagarosiphon, élodée…) que des sous-produits des biotechnologies bleues basées sur la culture des algues.

En effet, la biomasse des plantes autochtones a été estimée sur la Vienne à 1014 t de biomasse fraîche égouttée soit 85 t de masse sèche pour 27 km de rivière et 191 ha de surface d’herbier (tous types confondus) (L. Chabrol, comm. Pers.) et pour les plantes exotiques envahissantes cette biomasse est également importante et peut atteindre de 1 à 4 kg de masse sèche/m 2 dans certaines zones des lacs aquitains comme celui de Lacanau (IRSTEA, 2016).

Un autre genre de plante invasive retrouvé fréquemment est Ludwigia -les jussies- qui colonise également les cours d’eau comme le démontre la cartographie réalisée en Poitou-Charentes. L’élimination de ces végétaux invasifs est difficile et la meilleure option reste, pour l’instant, l’arrachage qui est une technique extrêmement coûteuse puisqu’une estimation indique un coût de 46 900 €/ ha (Spasovski, 2001 cité par Dandelot, 2004).

Cette biomasse pourrait donc constituer une source importante de molécules naturelles valorisables. Nous nous proposons donc de rechercher dans ces végétaux aquatiques de molécules qui pourraient être utilisées comme coagulant dans le traitement des eaux comme cela a déjà été réalisé pour un certains nombres d’espèces terrestres telles que le câprier (Jaeel et Ali, 2018), le manioc (Mohd-Asharuddin et al., 2018), les graines d’Hibiscus (Ndahi Jones et Bridgemanb, 2019), le psyllium (Ramavandi, 2014), l’opuntia (Bouaouine et al., 2019) ou le moringa (Feihrmann et al., 2017) entre autres.

D’autres sources de molécules naturelles peuvent être utilisées comme cela a été décrit dans la revue de Lima Junior et Abreu (2018). A notre connaissance, très peu de plantes aquatiques et aucun macrophyte aquatique submergé n’ont été évalués comme source de biomolécules pour le traitement des eaux (Varsha et al., 2010). Cependant, les classes de molécules intervenant dans les processus de coagulation/floculation en traitement des eaux sont, pour certaines, identifiées : il s’agit de composés du métabolisme primaire tels que les polysaccharides notamment l’amidon et les protéines mais aussi de composés du métabolisme secondaire tels que les tannins entre autres (Bouaouine et al., 2019). Ces classes de molécules étant présentes chez les macrophytes aquatiques et notamment dans le genre Myriophyllum (Delmail et al., 2013, Glomski et al., 2002) mais aussi chez les microalgues (Hamouda et Abou-El-Souod, 2018), il apparaît pertinent de rechercher une préparation adaptée de ces biomasses pour une mise en œuvre efficace et durable dans des réactions de coagulation floculation pour le traitement d’eau de diverses qualités : eaux industrielles, eaux de surface.

Cette thèse est proposée par Michel Baudu, au sein de l’équipe PEIRENE EA 7500, Université de Limoges (Ex-GRESE EA 4330).

Notre collègue Anne-Laure Stérin recommande cette conférence proposée par l’ARB Île-de-France le mois dernier et dont la vidéo est désormais visible en ligne.

Dans le cadre de son cycle de conférences à destination du grand public, l’ARB Île-de-France vous conviait à rencontrer son équipe dans le cadre d’une conférence grand public à quatre voix animée par Marc BARRA, écologue, Hemminki JOHAN, stagiaire naturaliste, Audrey MURATET, écologue et Gilles LECUIR, chargé d’études.

Les toits végétalisés existent depuis des milliers d’années un peu partout dans le monde sous des aspects très variés. En Europe, ces toits ont été délaissés avec l’urbanisation croissante à la faveur d’autres matériaux (zinc, tuiles, tôle, ardoise, ou béton). Cependant, depuis les années 90, la prise en compte politique de la nature en ville s’est accompagnée d’un regain d’intérêt pour ces toitures végétalisées. Des « solutions industrielles » se sont alors rapidement développées, inondant les villes de toitures à orpins, dites toitures « sedum ». Quelques alternatives conceptuelles, encore rares, apportent cependant une nuance dans cette normalisation.

De multiples avantages écologiques d’accueil pour la biodiversité, de rétention d’eau ou de stockage de carbone sont associés à ces toitures mais qu’en est-il réellement ? L’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France a engagé en 2017 l’étude GROOVES (pour Green ROOfs Verified Ecosystem Services). Nos écologues, soutenus par le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), le Conservatoire botanique national du Bassin parisien (CBNPB), IEES-Paris et l’INRA, ont analysé 32 toitures de typologies différentes (extensives, semi-intensives et intensives) via des inventaires des plantes et des invertébrés (dont les pollinisateurs), et des prélèvements de substrats. Leur objectif était de comprendre le rôle écologique de ces nouveaux écosystèmes urbains. Les premiers résultats de cette étude sont surprenants et vous seront présentés lors de cette conférence.

Déroulé de la conférence :
Notre équipe a présenté en images les toitures sélectionnées, leurs caractéristiques et leur répartition géographique. Ils ont détaillé ensuite les différents protocoles de suivi qui ont été mis en œuvre, vous ont fait découvrir les communautés animales et végétales toiturophiles et ont expliqué les caractéristiques des sols de ces toitures (composition, rétention d’eau, carbone stocké…). Ce travail original, par la diversité des approches, permet de mieux comprendre les fonctionnalités écologiques des toitures végétalisées.

Dans le cadre d’un appel à projet lancé en 2016, la SBF a accordé un financement de recherche à l’équipe de Yohan Pillon, chercheur à l’UMR LSTM à Montpellier et à ses collègues Daniel Petit, Christelle Gady, Marilyne Soubrand, Emmanuel Joussein et Gaëlle Saladin du pôle de recherche pluridisciplinaire PEIREINE de l’Université de Limoges.

Lande – photo : Y. Pillon

Cette équipe vient de publier les résultats de ses travaux dans la revue “Plant & Soil“.

Le résumé de l’article traduit en français :

La co-existence d’un grand nombre d’espèces de plantes en compétition pour les même ressources essentielles (lumière, minéraux, etc.) est une question fondamentale en écologie, en particulier lorsque les espèces sont étroitement apparentées. Une étude a été menée sur l’écologie de six bruyères (Calluna vulgaris et Erica spp., Ericacées) qui peuvent cohabiter dans les mêmes landes.

L’ionome, c’est à dire la composition minérale de ces plantes, a été caractérisé avec une méthode d’échantillonnage permettant d’exclure les biais liés à la composition du sol. Neuf communautés de bruyères ont été étudiées dans le Limousin, représentant huit combinaisons différentes d’espèces sur serpentine et d’autres substrats géologiques.

Les résultats montrent que l’ionome est influencé à la fois par des facteurs environnementaux et des facteurs taxonomiques, avec une interaction significatives entre ces deux paramètres. Des espèces de bruyères poussant sur le même site ont des profils ionomiques distincts, leurs compositions minérales sont différentes, ce qui suggère qu’elles n’ont pas les mêmes stratégies nutritives. Des associations mycorhiziennes différentes pourraient expliquer ces différences de signature chimique, mais cela reste à démontrer.

L’usage différentiel des minéraux du sols pourrait permettre à plusieurs espèces de plantes étroitement apparentées de cohabiter sur un même site. Il pourrait également expliquer la très forte diversité de certains écosystèmes arbustives ou de certains genres comme Erica. L’ionomique est donc un outil prometteur pour des études écologiques sur les espèces sauvages.

La référence de l’article :

Pillon, Y., Petit, D., Gady, C. et al. (2018) Ionomics suggests niche differences between sympatric heathers (Ericaceae). Plant Soil (online first) – https://doi.org/10.1007/s11104-018-3870-8

Notre collègue Samuel Rebulard publie chez Belin Éducation son livre : “Le défi alimentaire – écologie, agronomie et avenir

Intéressant chacun dans son quotidien, touchant globalement toutes les sociétés humaines, les questions liées à l’agriculture et à l’alimentation sont très présentes dans les débats contemporains. Le “Défi Alimentaire” propose une synthèse large des connaissances sur ces sujets. Après avoir dressé un bilan de la situation actuelle, des enjeux à relever et des conditions de la production agricole, l’ouvrage présente des pistes prometteuses d’évolution des pratiques agricoles.

Télécharger la fiche descriptive de l’ouvrage

Retrouvez le livre sur le site de l’éditeur.

La SBF est fière d’annoncer la publication d’un numéro spécial de sa revue Botany Letters, dédié aux herbiers et à leur utilisation dans la recherche scientifique.

L’accès en ligne à tous les articles de cette revue est gratuit pour nos adhérents.

De l’utilisation des herbiers au XXIe siècle

Les collections d’herbier1 sont depuis plus de quatre siècles les référentiels de la diversité des plantes et de la connaissance botanique. Elles servent traditionnellement à la systématique pour la description et la classification des espèces et à l’expertise botanique pour l’identification de spécimens issus de nouvelles récoltes par comparaison avec des spécimens de référence (types). Aujourd’hui l’utilisation des herbiers va plus loin, grâce notamment aux avancées technologiques et de communication interactive. En effet, de plus en plus de spécimens d’herbier sont numérisés et rendus accessible au public, les données de récolte sont retranscrites en masse en grande partie avec des projets de science participative et le séquençage des génomes de plantes s’est largement répandu.

Ce numéro spécial de Botany Letters, coordonné par Florian Jabbour2 et Guillaume Besnard3 présente un état de l’art sur le sujet avec une sélection d’études originales. Les contributions, internationales, dressent un tableau quasi exhaustif des utilisations actuelles des collections d’herbiers : études morphologiques, génomique évolutive, écologie…

Les collections d’herbier permettent de décrire la biodiversité passée et actuelle et son organisation dans l’espace et le temps, mais aussi d’étudier l’évolution des espèces de plantes et leurs mécanismes d’adaptation à l’environnement. Les herbiers représentent donc un outil essentiel pour répondre aux problématiques environnementales comme l’impact des changements globaux et la conservation de la biodiversité.

Référence : Besnard G., Gaudeul M., Lavergne S., Muller S., Rouhan G., Sukhorukov A.P., Vanderpoorten A., Jabbour F. 2018. Numéro spécial “Herbarium-based science in the twenty-first century. Botany Letters 165(3-4): 323–327. https://doi.org/10.1080/23818107.2018.1482783

1 L’Index Herbariorum répertorie 3001 herbiers dans le monde, représentant au total plus de 387 millions de spécimens.
2 Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité (Muséum national d’Histoire naturelle / CNRS / Sorbonne Université / EPHE)
3 Laboratoire Evolution et Diversité Biologique (CNRS / IRD / Univ. Toulouse III Paul Sabatier)

Herbarium-based science in the twenty-first century

Editorial
Articles
Letters
Biogeography
Systematics & Taxonomy
Ethnobotany & Pharmaco
Ecology
Editorial Board
Page: (ebi)
Published online: 17 Oct 2018

 

La SBF se fait le relaie de l’appel à projet “les Herbonautes”.

Il s’agit d’un appel destiné aux chercheurs qui ont besoin de données sur les collections de botanique.

Toute l’information est accessible sur leur site à l’adresse suivante :

http://lesherbonautes.mnhn.fr/contents/appelaprojets

 

La SBF se fait le relaie des parutions suivantes :

La flore remarquable des Bouches-du-Rhône. Plantes, milieux naturels et paysages

Fruit d’un partenariat entre le Conservatoire botanique national méditerranéen et le Département des Bouches-du-Rhône, il a été coordonné par Mathias Pires (CBN) et Daniel Pavon (IMBE), avec les apports de nombreux contributeurs notamment de la Société Linnéenne de Provence et l’Institut méditerranéen de biodiversité et d’écologie (IMBE).

Cet ouvrage richement illustré permet de découvrir les 17 écorégions qui fondent la notoriété de ce département du massif des Alpilles à l’étang de Berre en passant par les massifs de Sainte-Victoire et les Calanques et 163 espèces emblématiques du territoire.

Pour chaque écorégions on trouve une description générale, son histoire et son évolution, son originalité, les habitats remarquables ou caractéristiques et la flore associée, les menaces et les programmes de conservation et de gestion.

Il sera très utile non seulement aux participants de notre 155e session extraordinaire Provence Côte-d’Azur mais également à tous les botanistes souhaitant approfondir leur compréhension de cette magnifique région.

Éditeur : Biotope – Format : 21 × 29,7 cm – Nombre de pages : 464 – Prix public : 35 € TTC

Description détaillée ci-jointe.

Nouvelle flore illustrée des Pyrénées

La nouvelle édition de la flore des Pyrénées de Marcel Saule est proposée en souscription. Si vous êtes intéressé, vous trouverez ci-joint le formulaire à envoyer à l’éditeur, les Éditions du Pin à crochets.

« La Grande flore illustrée des Pyrénées est née d’une belle passion pour les Pyrénées et du grand talent d’un dessinateur naturaliste et pédagogue. Pour la première édition parue en 1991, il avait fallu 20 années d’observation et de patience.

Cette édition concernait la flore pyrénéenne de moyenne et haute montagne, de France, Espagne et Andorre. Mais Marcel Saule ne pouvait s’arrêter là… Sans relâche, il a poursuivi son travail pour compléter l’existant par la flore des piémonts des deux versants des Pyrénées et celle des deux littoraux. La première édition comportait 330 planches pour un total de 1800 espèces. La nouvelle édition comprend ainsi l’ensemble des plantes pyrénéennes soit 3650 espèces présentées en 520 planches.

Un travail immense : Marcel Saule dessine au crayon chaque plante et relève tous les détails de la tige, des feuilles, fleurs, fruits et graines. La plante est entière. L’étude est faite sur un échantillon frais, sur le terrain et/ou au bureau, mais aussi à partir d’un échantillon d’herbier pour les plantes qui ne peuvent se conserver fraîches ou pour les plus rares. Le dessin final, assemblant les espèces en planches adaptées au format de l’édition, est réalisé à la plume sur papier-calque, éventuellement en repliant une tige trop longue. L’auteur a donc reconstitué des planches originales afin de regrouper les espèces en genres, dans la logique de la classification botanique. Le texte descriptif de chaque plante est présenté en vis-à-vis. Les distributions générale et pyrénéenne sont indiquées ainsi que les noms vernaculaires dans les différentes langues pyrénéennes. »

Le nouvel ouvrage, préfacé par Gérard Largier – Directeur du Conservatoire botanique national des Pyrénées et de Midi-Pyrénées –, décrit également le paysage végétal des Pyrénées et offre quelques-unes des superbes aquarelles de l’artiste Hélène Saule-Sorbé.

L’édition vous est proposée en deux versions : un tirage broché pour la première et un tirage de tête relié – uniquement vendu en souscription – pour la seconde.

Bulletin de souscription

Biogéographie de la flore du Sahara

Aux éditions IRD & Conservatoire et Jardins Botaniques de Genève nos collègues Frédéric Médail et Pierre Quézel viennent de publier : « Biogéographie de la flore du Sahara – Une biodiversité en situation extrême ». Cet ouvrage est disponible en version papier et ebook.

« Bien que l’imaginaire saharien n’évoque pas a priori la notion de biodiversité, la flore du Sahara est néanmoins bien plus diversifiée qu’il n’y paraît. Tantôt barrière ou relais pour la dispersion des espèces, le Grand Désert est en effet riche d’une histoire biogéographique très originale, dont cet ouvrage donne une première synthèse.

Depuis les premières explorations botaniques sahariennes de la fin du xixe siècle, aux travaux pionniers du milieu du xxe siècle, jusqu’aux acquis biogéographiques les plus récents, l’ouvrage met en perspective l’organisation et l’évolution de la flore saharienne au sein d’un environnement changeant, tour à tour savane arborée puis terre d’une extrême aridité. Quelles sont la diversité et l’histoire de ce peuplement végétal peu connu ? Comment les flores méditerranéennes ou tropicales ont-elles pu migrer puis se maintenir dans les massifs sahariens ou sur les façades maritimes ? Quelles sont les conséquences des changements environnementaux passés et actuels ?

Face aux enjeux de préservation de ce patrimoine naturel unique, l’ouvrage met l’accent sur la nécessité d’une véritable politique de conservation à l’échelle de cet immense désert. Région naturelle trop négligée par la recherche, le Sahara mérite d’être réinvesti par les sciences du vivant, et ce d’autant qu’il forme un laboratoire exceptionnel pour étudier l’impact des changements globaux en situation environnementale extrême.

L’ouvrage, très documenté et abondamment illustré, fournira aux gestionnaires des milieux arides, aux écologues et biogéographes, aux enseignants et étudiants en biologie et en écologie, mais aussi aux naturalistes et simples voyageurs, un éclairage inédit sur la flore saharienne et son histoire. »

Voir le site de l’IRD pour plus d’information

Encyclopédie des plantes alimentaires

Quelles sont ces plantes que nous mangeons ? Où sont-elles cultivées ? Depuis quand ? Comment les reconnaître ?

Fruits et légumes, plantes oléagineuses, céréales, tubercules, plantes aromatiques, épices, champignons, algues, plantes entrant dans la composition d’additifs industriels… Cette encyclopédie décrit environ 700 espèces de plantes alimentaires du monde entier, que l’on peut se procurer sur les marchés ou cueillir dans la nature. Grâce à un minutieux travail d’enquête sur le terrain et auprès des meilleurs spécialistes, l’auteur a recueilli des informations à la pointe des connaissances actuelles sur toutes ces espèces, sans omettre les plantes oubliées comme la manne terrestre, la graine de paradis ou le chervis.

Chaque plante fait ainsi l’objet d’une description détaillée :  caractéristiques biologiques, origine et histoire, principales variétés, description de ses usages, rôle économique dans le monde, goûts, odeurs… Vous ne ferez plus vos courses de la même façon !

Découvrez les caractéristiques de l’ouvrage et un aperçu sur le site de l’éditeur

Nous relayons l’information concernant ce colloque, organisé par la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale. Il se tiendra à Paris, le 8 octobre 2018.

Notre président, Marc-André Selosse, y interviendra en deuxième partie de matinée dans le cadre d’un débat intitulé : “Les arbres et les plantes dans le cycle de l’eau”.

Retrouvez le programme, toutes les informations et les modalités d’inscription à l’adresse suivante :

https://tinyurl.com/colloque-BPLC-8oct2018

(redirection vers la plateforme helloasso)

Le nº82 de notre Journal de Botanique vient de paraître. Il sera envoyé prochainement à nos abonnés.

En voici le sommaire :

A. Artiges & P. Thiébault : Vie de la Société – Procès verbal de l’Assemblée générale du 16 mars 2018

A. Artiges : Vie de la Société – Compte-rendu de la séance du 16 mars 2018

E. Dodinet : Vie de la Société – Éloge à Gérard Largier pour le Prix du Conseil 2018

A. Charpin : Vie de la Société – Éloge à Denis Jordan pour le Prix Gandoger de phanérogamie 2018

M.A. Selosse : Vie de la Société – Éloge à Marianne Meyer pour le Prix Gandoger de cryptogamie 2018

V. Malécot : Vie de la Société – Éloge à Pierre Coulot et Philippe Rabaute pour le Prix de Coincy 2018

M. Meyer : Actualités – Résumé de la conférence : Le monde des myxomycètes

F. Kessler, C. Brousseau, J. Dao, G. Fried : Découverte d’une plante nouvelle pour l’Ariège et la France métropolitaine

P. Thiébault, M. Botineau, A.-M. Mollet, et al. avec le support du CBN Bretagne-Normandie : Compte-rendu de la 152e session extraordinaire de la Société Botanique de France en Bretagne-Normandie du dimanche 19 juin au jeudi 23 juin 2016

D. Mathieu, J. Mathez, V. Malécot, D. Mercier, B. Bock : Les référentiels de Tela Botanica. Notions de base permettant de comprendre comment sont organisés les référentiels de Tela Botanica

Anonyme : Parutions récentes